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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 06:13

sur terra Eco

 

http://www.terra-economica.info/Les-pertubateurs-endocriniens,17214.html

 

Les pertubateurs endocriniens bientôt indésirables en France ?
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(crédit photo : pha10019/Flickr)

L’appel des ONG européennes contre les perturbateurs endocriniens aurait-il été entendu par les députés français ? Un vote de l’Assemblée nationale fait un premier pas vers une interdiction.

Coup de théâtre à l’Assemblée nationale ! Elle a adopté ce mardi en première lecture une proposition de loi du Nouveau Centre contre les perturbateurs endocriniens. Cette proposition vise à interdire « la fabrication, l’importation, la vente ou l’offre de produits contenant des phtalates, des parabènes (...)
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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 19:52

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 00:45

 

Dans le Parisien 

 

 

Vote surprise : les députés souhaitent interdire parabènes et phtalates

 

Publié le 03.05.2011, 19h18 | Mise à jour : 21h07

Archives. La proposition de loi pour interdire l'utilisation des parabènes, des alkiphénols et des phtalates, notamment suspectés de nuire à la fertilité masculine ou de provoquer des tumeurs du sein, a été adoptée en première lecture à l'Assemblée nationale.

Archives. La proposition de loi pour interdire l'utilisation des parabènes, des alkiphénols et des phtalates, notamment suspectés de nuire à la fertilité masculine ou de provoquer des tumeurs du sein, a été adoptée en première lecture à l'Assemblée nationale. | AFP/Marcel MochetZoom

Les partisans d'une interdiction des parabènes et autres phtalates, des perturbateurs endocriniens utilisés dans les plastiques et les cosmétiques, ont remporté une victoire, symbolique mardi à l'Assemblée. A la surprise générale, les députés ont adopté mardi en première lecture contre l'avis du gouvernement et de l'UMP, une proposition de loi du Nouveau Centre interdisant l'utilisation de ces produits, notamment suspectés de nuire à la fertilité masculine ou de provoquer des tumeurs du sein. 
Le vote (236 voix contre 222) a été accueilli par les applaudissements dans l'hémicycle, venus aussi des rangs occupés par la gauche mais aussi de 19 élus UMP, de (MoDem) ou encore de Nicolas Dupont-Aignan (DLR).  

Les phtalates, qui assouplissent le plastique, sont présentes dans de très nombreux produits : emballages, adhésifs, peinture, vernis à ongles, laque pour les cheveux, parfums... Certains d'entre-eux sont déjà interdits pour les articles pour enfants. A Noël, «Le Parisien» prodiguait des conseils pour éviter les jouets toxiques. Plusieurs études scientifiques ont montré que les phtalates avaient «des effets délétères sur la mise en place du potentiel reproducteur masculin dans l’espèce humaine», selon l'exposé des motifs du texte.

Les parabènes, des conservateurs que l'on trouve surtout dans des produits de beauté (déodorants, crèmes...), sont aussi «suspectés de provoquer chez les femmes des cancers du sein et d’être néfastes à la fertilité masculine». En 2008, la ministre de la Santé, avait proposé d'apposer un logo d'avertissement sur certains cosmétiques pour alerter les femmes enceintes.  Face aux craintes des consommateurs, de nombreuses marques ont déjà conçu des produits qui ne contiennent plus cette substance chimique. 

Du jamais vu depuis avril 2009.
 Depuis 2007, les scrutins publics ont rarement donné lieu à de telles surprises. Ce fut le cas en mai 2008 pour le projet de loi OGM et en avril 2009 sur le texte Hadopi, tous deux -temporairement- rejetés. Pour le gouvernement, le vote de mardi pourrait ne pas prêter à conséquence. Il peut décider de ne pas inscrire le texte à l'ordre du jour du Sénat. «Il doit l'inscrire ! Il ne peut pas ignorer le vote de la représentation nationale», a aussitôt déclaré le patron des députés NC, François Sauvadet, saluant cette «victoire» du Nouveau Centre et le fait que «les sujets de société et de santé publique dépassent les clivages politiques». 

Le ministre de la Santé proposait d'attendre la fin d'expertises
. Lors des débats en séance publique, le 14 avril, le ministre de la Santé, , avait proposé d'attendre le résultat d'expertises en cours avant d'interdire ces substances ainsi que alkylphénols, des perturbateurs endocriniens eux aussi désormais interdit, jugeant «prématurée» la proposition de loi NC. «Les principaux résultats de ces expertises devraient être disponibles entre fin 2011 pour le bisphénol A et fin 2012 pour les autres substances pertubatrices endocriniennes présentes dans les produits grand public», avait-il déclaré.

Le
 Réseau environnement santé s'est réjoui du vote de l'Assemblée. «C'est une excellente décision, qui montre que les députés ont pris conscience de l'importance de ces questions et ont su résister au lobby chimique», a indiqué André Cicolella, chercheur en santé environnementale et membre de ce réseau. «On sait assez de choses pour savoir que ce type de contamination peut avoir des conséquences dramatiques», a-t-il dit. En juin 2010, les sénateurs avaient été à l'origine de la loi interdisant la fabrication et la commercialisation des biberons contenant du bisphénol A, entérinée ensuite par l'Assemblée. Pour lui, les sénateurs «ne devraient logiquement pas se déjuger, et devraient suivre les députés sur cette question». 


LeParisien.fr 

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29 avril 2011 5 29 /04 /avril /2011 08:38

 

Impact santé.fr du 294/2011

http://www.impact-sante.fr/Medecine/_Medecine__Actualites/Un_premier_effet_anti-androgenique_demontre_des_phtalates_sur_le_testicule_humain/1/17341

Un premier effet anti-androgénique démontré des phtalates sur le testicule humain
28/04/2011 | Endocrinologie, Santé publique, Epidémiologie
Un premier effet anti-androgénique démontré des phtalates sur le testicule humain

Au congrès « 6th Copenhagen Workshop on Endocrine Disrupters », qui se tient cette semaine à Copenhague (26-29 avril), le Dr Bernard Jégou (Inserm, Université de Rennes) a annoncé les résultats d’une étude qui, pour la première fois, plaide en faveur d’un effet des phtalates sur la fonction testiculaire humaine. 

« Chez le rat, on recense près de 200 publications montrant que l’expositionin utero à des phtalates inhibe la production de testostérone, d’où de potentiels effets délétères sur la puberté, la fertilité et les anomalies de l’appareil reproducteur (non descente des testicules, hypospadias). Le testicule adulte de rat, en revanche, apparaît plus résistant aux effets des phtalates », a expliqué le Dr Bernard Jégou, spécialiste des questions d’environnement et de fertilité masculine (Inserm-Université de Rennes 1).

Mais chez l’homme, le schéma pourrait être opposé : « Ainsi, quand l’équipe du Pr René Habert (CEA, Inserm, Université Paris VII, Fontenay-aux-Roses) exposait des cultures de testicule humain fœtal à de fortes concentrations en phtalates, elle ne trouvait aucun effet anti-testostérone. En revanche, nous venons de montrer que sur des cultures de testicule humain adulte, l’exposition à des phtalates inhibe fortement la production de cette hormone ! », a annoncé le Dr Jégou.

La confrontation de ces différents résultats expérimentaux souligne les difficultés persistantes pour tirer des conclusions sur les effets réels des perturbateurs endocriniens sur la fonction reproductive humaine. Les phtalates montrent ainsi des effets opposés chez l’homme et chez le rat, mais aussi, pour une même espèce, chez l’adulte et le fœtus ! En sus, la confrontation des données expérimentales avec les données épidémiologiques est elle-même parfois délicate : plusieurs études suggèrent que l’exposition de femmes enceintes à des phtalates, pendant le premier trimestre de la grossesse, est associée à des naissances de garçons qui ont une distance ano-génitale plus courte, susceptible de traduire une carence en testostérone endogène…

Florence ROSIER
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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 22:49

 

http://www.impact-sante.fr/Medecine/_Medecine__Actualites/_Perturbateurs_endocriniens_-_plusieurs_alarmes_s_allument_/1/17336

« Perturbateurs endocriniens : plusieurs alarmes s’allument… »
22/04/2011 | Endocrinologie, Cancérologie , Santé publique
« Perturbateurs endocriniens : plusieurs alarmes s’allument… »

Les perturbateurs endocriniens viennent d’être passés au crible de l’Inserm dans l’expertise collective « Reproduction et environnement ».  Entretien avec le Dr Bernard Jégou *, spécialiste des questions d’environnement et de fertilité masculine à l’Inserm.

L’Inserm vient de publier son expertise collective « Reproduction et environnement ». La principale conclusion semble un peu frustrante… 
Selon l’Inserm, les études épidémiologiques « sont encore trop peu nombreuses à ce jour pour permettre de conclure » quant aux risques, pour la fonction reproductive de l’homme, de cinq familles de perturbateurs endocriniens très utilisées dans de nombreux produits de grande consommation (bisphénol A, phtalates, composés polybromés, composés perfluorés, parabènes)**. Pour autant, cette expertise reflète un travail considérable, en quantité comme en qualité. Mais force est de constater l’énorme écart qui subsiste entre les études toxicologiques et éco-toxicologiques chez l’animal, qui ont fait un bond immense depuis 15 ans, et le peu de données disponibles chez l’homme.

Pourquoi existe-t-il encore si peu d’études chez l’homme ?
Dans ce domaine des perturbateurs endocriniens, les études chez l’homme se heurtent à trois types de difficultés. Tout d’abord, les relations doses-effets ne sont pas ici toujours conventionnelles : à faibles doses, on peut observer des effets de ces perturbateurs endocriniens. A doses intermédiaires, on ne voit parfois pas d’effet, et à fortes doses, les effets constatés diffèrent parfois de ceux observés aux faibles doses. Deuxième obstacle, la notion de fenêtre d’exposition : selon la période du développement, une même dose d’un même produit n’aura aucun effet ou affectera des organes différents. Le dernier défi à relever est celui des mélanges : si l’on mélange 8 à 10 produits à des doses qui n’ont aucune action pour chaque produit isolément, on obtient un phénomène additif, voire synergique, avec un effet important final.

Quelles sont les perspectives de développement des études dans ce domaine ?
Tout l’enjeu des recherches futures sera de développer l’étude de « l’exposome », pour établir les niveaux d’exposition de chaque individu dans la population générale : nouveau-né, femme enceinte, professionnel en liaison avec son type de travail... Dans cette optique, les chimistes analytiques devront développer des outils pour dresser la carte d’identité de l’exposition des individus aux toxiques de l’environnement. Il s’agira d’analyser les liquides et les matrices biologiques (graisses, placenta…) de chacun.

Donc les recherches chez l’homme devraient « passer à une vitesse supérieure »…
Nous sommes dans l’obligation d’intensifier les études chez l’homme, en intégrant les acquis de plusieurs disciplines scientifiques. Car même si aucune preuve formelle n’est apportée, plusieurs alarmes s’allument, qui vont dans le sens du principe de précaution voire d’une éviction, notamment pour le bisphénol A et les phtalates. Pour ces produits déjà sur la sellette, il y a eu trois récents signaux forts, issus de publications scientifiques, qui font qu’un nouveau cap a été franchi dans l’appréciation du risque, avec une bascule vers la présomption d’un risque. Pour le bisphénol A, c’est la découverte mi 2010, par l’équipe INRA d’Eric Houdeau (Toulouse), d’effets négatifs (inflammatoires…) sur l’intestin animal mais aussi humain. Et pour les phtalates, c’est la mise en évidence pour la première fois d’effets anti-androgéniques sur des cultures de testicules humains. Hors champs des plastifiants, c’est aussi la découverte par l’équipe de Luc Multigner (Inserm Rennes), en juillet 2010, d’une augmentation du risque de cancer de la prostate chez des sujets guadeloupéens, ayant certains polymorphismes génétiques et exposés à de fortes concentrations du pesticide chlordécone.

Quelle va être l’étape suivante ?
Aux politiques désormais de se saisir de ce corpus de données. Sur la base de cette expertise, le ministre du travail, de l’emploi et de la santé, Xavier Bertrand, a annoncé le 15 avril que « les agences de sécurité sanitaire vont procéder à une analyse encore plus précise des risques et faire de premières recommandations opérationnelles en matière de gestion des risques. » Ces recommandations devraient être édictées fin 2011 pour le bisphénol A, et fin 2012 pour les autres familles. Concernant le bisphénol A, rappelons que la France a promulgué une loi suspendant la commercialisation des biberons renfermant ce produit en juillet 2010, décision suivie par une interdiction de l'Union européenne en novembre dernier.


*Le Dr Jégou est co-auteur, avec les Pr Pierre Jouannet et Alfred Spira, de l’ouvrage « La fertilité est-elle en danger ? » - Editions Inserm – La Découverte (fin 2009).

** Ces cinq familles chimiques sont (ou ont été) utilisées dans de nombreux produits de grande consommation : plastiques des bouteilles, revêtements internes des boîtes de conserve et des cannettes (bisphénol A), cosmétiques, emballages alimentaires, matériels médicaux (phtalates), retardateurs de flamme des textiles, ordinateurs... (composés polybromés), anti-tâches et imperméabilisants des textiles… (composés perfluorés), conservateurs présents dans les cosmétiques, médicaments et aliments (parabènes).

Florence ROSIER
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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 07:48

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Exposition 24 mai au 11 juin 2011
Les Outils de Pierre Soulages La Capitale Galerie Paris d 
M° Pont Neuf (ligne 7), M° Louvre (ligne 1), M° Les Halles (ligne 4) 
18, rue du Roule, 75001, Paris 
du lundi au samedi de 11h à 13h et de 14h à 19h30
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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 23:27

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10 avril 2011 7 10 /04 /avril /2011 09:04

dans Liberté-Hebdo du 25 au 31 mars 2011

 

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8 avril 2011 5 08 /04 /avril /2011 08:07

 

Vendredi 8 avril 2011, 08h06

 

httplhttp://www.terra-economica.info/Savez-vous-a-quel-point-les-jouets,16747.html

« Savez-vous à quel point les jouets en plastique sont dangereux ? »
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(Légende : Werner Boote (à droite) lors du tournage du film Crédit photo : DR)


Dans le docu « Plastic Planet », le réalisateur autrichien Werner Boote part en guerre contre le culte du secret dans l’industrie du plastique. Entre fausse naïveté et opérations coup de poing à la Michael Moore, il touche juste.

Terra eco : Que vouliez-vous démontrer en réalisant « Plastic Planet » ? Werner Boote : En 1999, je voulais juste faire un film sur la quantité de plastique autour de nous, c’est tout. Ensuite, j’ai lu des articles. Et puis des études sur des substances contenues dans ces plastiques. On y parlait (...)

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5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 23:24
SCIENCES 04/04/2011 À 19H10 (MISE À JOUR LE 05/04/2011 À 11H51)
Les perturbateurs endocriniens comme le Distilbène ont des effets sur plusieurs générations

39 réactions

Une pharmacienne tient, le 24 septembre 2009 à Paris, une boîte de Distilbène.

Une pharmacienne tient, le 24 septembre 2009 à Paris, une boîte de Distilbène. (AFP)

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Une étude épidémiologique portant sur les effets transgénérationnels du Distilbène montre que les petits-enfants des femmes traitées avec cette hormone de synthèse, prescrite pour prévenir les fausses couches, sont 40 à 50 fois plus exposés au risque de l’hypospadias.

L’hypospadias est une malformation congénitale de l’urètre, dont l’orifice se trouve anormalement positionné sur la face inférieure du pénis et non à son extrémité. Détectée lors de l’examen pédiatrique, elle nécessite une intervention chirurgicale lorsque l’enfant atteint un an environ.

Le Distilbène (DES) est une hormone de synthèse prescrite pendant près de 30 ans aux femmes enceintes pour prévenir les fausses couches. Entre deux et huit millions de femmes dans le monde ont été traitées de cette façon entre 1948 et 1976, et en France le DES a concerné environ 200.000 patientes.

Des tumeurs vaginales et, chez les garçons, des malformations génitales (l’hypospadias) sont les effets secondaires connus chez les «enfants distilbène». Une équipe constituée autour du professeur Charles Sultan (CHRU Lapeyronie de Montpellier) s’est penchée sur la prévalence de l’hypospadias chez les petits-enfants de ces femmes traitées par le DES.

La prévalence «apparaît être 40 à 50 fois supérieure» à celle attendue, a commenté le Pr Sultan.

8,2% de malformation chez les garçons issus «de grands-mères distilbène»

Selon Nicolas Kalfa, chirurgien pédiatre co-signataire d’une analyse à paraître dans la revue «Fertility ans Sterility», la fréquence de la malformation est de 0,2% dans la population. Elle passe à 8,2% chez les garçons issus «de grands-mères distilbène».

Le DES est, a rappelé le Pr Sultan, «un modèle d’action des perturbateurs endocriniens» chez l’animal et chez l’homme, ces substances chimiques qui peuvent interférer avec le fonctionnement des hormones.

Or, a-t-il souligné, ces effets transgénérationnels ont été rapportés, chez l’animal, pour toutes les classes de perturbateurs endocriniens - dont les pesticides et le Bisphénol A (composé chimique controversé utilisé dans la fabrication de plastiques alimentaires).

La question est de savoir si le Bisphénol A et les autres perturbateurs endocriniens «ne risquent pas d’avoir un effet transgénérationnel» chez l’homme, a conclu le scientifique. Il plaide pour le principe de précaution, à savoir «réduire de 100% l’utilisation des pesticides et des polluants chimiques qui agissent en tant que perturbateurs endocriniens».

(Source AFP)

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